Quand elles arrivent, acceptons de pleurer, de passer des nuits d’insomnies sans rien prendre pour nous abrutir.
En MTC, la tristesse combat la colère, selon le cycle des cinq éléments. C’est une émotion d’autocontrôle nécessaire.
Fuyez ceux qui vous disent : « tu es un homme mon fils, tu ne dois jamais pleurer ». On finit par en faire des « amputés » de l’amour. Épousons ce vieil adage : « Celui qui touche le fond de la rivière a plus de chances de se propulser à la surface que celui qui reste entre deux eaux ».
À force de lectures, de compréhension des « choses de la vie », de nous mettre à l’écoute de notre âme, nous comprendrons un jour qu’il n’y a pas fondamentalement d’épreuves négatives. Seulement des épreuves qui nous font évoluer.
Et puis après l’orage vient le beau temps !